Kenneth Bernard Cook, né le 5 mai 1929 à Lakemba (en Nouvelle-Galles du Sud, en banlieue de Sydney), et mort à Narromine (Nouvelle-Galles du Sud, près de Dubbo) le 18 avril 1987 (à 57 ans), est un journaliste, réalisateur, scénariste et écrivain australien. Il est considéré comme l'un des principaux écrivains australiens contemporains.

Si vous aimez de l’exotisme, en voilà !
1. « Tempête de lézards à collerettes »
Des lézards envahissent l’intérieur d’un avion.
2. « L’ivresse du kangourou »
Un kangourou s’éprend d’une brasserie.
3 « Ce n’est pas du jeu »
Un homme veut mettre définitivement fin au jeu de cricket.
4. « Un truc bizarre »
Dans le désert, rencontre d’un chien et d’un chat monstrueux.
5. « La ruse du rat »
Comment se débarrasser d’un rat qui en veut à votre sandwich et à votre whisky.
6. « La roue de la fortune »
Un restaurant panoramique sans panorama.
7. « Renoncez à aimer les autruches »
Chasse à l’œuf d’autruche.
8 et 9 . « Face je gagne, pile du perds » et « Tu connais celle du … ?
Des paris hors du commun.
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Un délice du bout du monde !

Extraits :
- Ma phobie de tous les animaux australiens découle sans doute des démêlés que j’ai eus dans mon enfance avec un kangourou alcoolique.

- Il y a beaucoup d’autruches en Australie. Des gens en ont fait venir au début du vingtième siècle pour les élever et vendre leurs plumes. Et quand ça n’a pas marché, ils ont relâché les autruches dans la nature. On en trouve partout.

- L’autruche est un sale oiseau. Ses yeux reflètent sa nature : petits et méchants, cruels, sans pitié. L’autruche n’a qu’une expression : un mépris pour toutes les natures vivantes en général et pour moi en particulier.

- Il est temps de préciser que je suis un homme d’une grande tolérance, mais ceux qui me regardent dans les yeux en me demandant si je connais le renouveau chrétien m’emmerdent prodigieusement.

Apres le wombat et le koala, c'est toujours un plaisir de retrouver l'univers de Cook avec ses personnages pittoresques et ses histoires invraisemblables. Cependant on s' habitue à l'humour de l'auteur et on tourne un peu en rond. Opus divertissant donc mais qui sonne le glas de la série.