Climatorride
de Yve Bressande

critiqué par JPGP, le 13 mars 2024
( - 78 ans)


La note:  étoiles
Yves Bressande met le paquet
Dans ce livre tout n’a rien de rose vichy. Différents types de chiffres sur l’engeance dite humain inquiète de tous les continents que l’on parle – entre autres – de canicules et de naissances. L’avenir n’a rien de radieux. Noël au balcon et Pâques aux tisons sont désormais lettre morte. Et dans le nord de la France la végétation esst devenu un appel d’offrespour oliviers, mimosas, cocotiers et ananas. Sans compter perroquets pour pigeons et bien sûr les zébus qui pourraient bientôt servir de vaches en Normandie.

L’avenir merveilleux annonce un collapsus imminent. Le ciel lui-même est tombé sur notre tête sans compter des « milliers de pépites satellites parasites tels poux ou punaises .= Tout va de bric et de broc même pour les baleines blanches comme pour les candidats artefacts des élections présidentielles.
Certes des pandémies ont eté quasument ratées mais incendis génnéraux et tsunamis attendent – si l’on peut dire – de nous rassurer.

La marée des mots monte celle des plaies du monde. L(auteur en devient le dystopien qu’il convient. Il pimente ses corpus d’inondations, d’éruptions, de génocides. Bref l’ »anthropocèe » est un film de science affliction et d’horrreurs. Quant au jadis Sapiens dite homo porrait bientôt devenir une variété de poulpes fiction. Et en belle harmonie le chaos debout est de mise.

Jean-Paul Gavard-Perret