De plume et d'ailes
de Ella Balaert

critiqué par JPGP, le 6 avril 2024
( - 78 ans)


La note:  étoiles
Ella Balaert: délivrances
Modifier son nom n'est ni mortifier, ni momifier. Ella Balaert nous l'aprrend en ironie et humour et intelligence afin de produire ses mémoires de 30 années.sous forme d'abécédaire pour revenii sur son identité faite de pseuds qui peu ou prou en reste quelquefois contrariée.

Certes le pseudo - tant s'en faut - n'est pas une la lâcheté. Car celui-là devient un personnage qui l'atttire par les pieds, voire à croire ce qu'elle ne croit pas. Mais ses limbes ont été sauvées in extremis à la naissance de cet artifice.

Celui-ci est le pire ou le mpeilleur de sa personnalité. Ella Balaert s'en délecte. Car si rien n'a lieu qu'un pseudo. Il peut selon divers masques devenir l'étiquette de littératures, de vies imaginaires, de récits fantastiques ou autobiographiques, etc. C'est donc une manière de le et se dire dans quelques fantômes ou plein de gens pour celle qui s'esttime timide. Et c'est à sa littérature de fabriquer des maisons des otages.

Jean-Paul Gavard-Perret