Je tiens cependant à souligner le fait que Fred Vargas a également créé le personnage de Kehlweiler, un ancien policier qui oeuvre dans "Sans feu ni lieu" et "Un peu plus loin sur la droite" et peut-être d'autres encore.
En tout cas je peux vous dire que les deux livres ci-dessus sont vraiment très bons également !
Si vous êtes en manque d'un Vargas, n'hésitez pas un instant !
Une fois de plus, vous me donnez envie de découvrir un auteur que je ne connais pas encore (mais il en existe tant !).
Je lirai quand j'aurais assez de temps un livre de Vargas donc.
Merci de toutes vos critiques, toujours agréables à lire.
Une "jeune" maman, qui à ses heures creuses "mange" un gros pavé de Anne-Marie Garat, "Dans la main du diable". Je tâcherai d'en faire la critique une fois le livre fermé, à l'issue des 900 pages que constitue ce roman.
Il y a aussi Vandoosler, autre flic déchu, le parrain d'un des trois "saints" (Luc, Marc, Matthieu).
Je tiens cependant à souligner le fait que Fred Vargas a également créé le personnage de Kehlweiler, un ancien policier qui oeuvre dans "Sans feu ni lieu" et "Un peu plus loin sur la droite" et peut-être d'autres encore.
Je n'ai abordé Vargas qu'en 2015. Excellent exutoire à la grisaille politico-médiatique. Quel contraste avec Simenon, tout en sobriété, austérité dirais-je même, avec son père Maigret, roc impénétrable dont on ne sait que très peu de choses, sinon qu'il a épousé une dame qui met des bigoudis... Alors qu'avec Adamsberg et sa bande, ça dérape, ça aime, ça boit, ça déborde de fantaisie, d'amitié, d'amour (Camille a fini par faire un bichon à Adamsberg : la suite ?), de finesse aussi, bref, ça vit. Et on n'est pas dans un traité de philosophie ou de mécanique quantique, alors au diable les invraisemblances.
Je tiens cependant à souligner le fait que Fred Vargas a également créé le personnage de Kehlweiler, un ancien policier qui oeuvre dans "Sans feu ni lieu" et "Un peu plus loin sur la droite" et peut-être d'autres encore.
Seul bémol, son crapaud dénommé Bufo qu'il transporte partout (poches, boîte à gants...) : un cauchemar pour moi qui ai la phobie des batraciens ! Mais c'est encore là un détail saugrenu tel que je les apprécie chez l'auteur.

