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Je relis ma propre critique à la faveur de celle que vient de poser Provisette et je me fais la réflexion que c'est sans doute le livre dont je changerais maintenant le plus la note (à la hausse, il y en a quelques uns que je chargerais un peu moins). J'ai vieilli en sept ans, mûri, j'espère, et n'attends plus des livres ce que j'en attendais alors. En relisant ma relation de celui-ci, je me dis que ma note (toutes, certainement) devrait être une critique non pas "éclair", mais "cliché" : une prise de vue instantanée ; le temps qu'elle existe j'ai changé.
Merci, donc, Provisette ! Je relirai Silvain. Je verrai ce qu'en pense à présent, ce vieux moi de trente-et-un ans.
Merci, donc, Provisette ! Je relirai Silvain. Je verrai ce qu'en pense à présent, ce vieux moi de trente-et-un ans.
J'ai vieilli en sept ans
Oui enfin cette critique date de 2012, ce n'est quand même pas si lointain!
J'ai vieilli en sept ansStavro était déjà né en 2012 ???
Oui enfin cette critique date de 2012, ce n'est quand même pas si lointain!
J'ai vieilli en sept ans
Oui enfin cette critique date de 2012, ce n'est quand même pas si lointain!
Stavro était déjà né en 2012 ???
:-))
C'est vrai, quoi, à le lire (avant de voir la critique en question) on aurait dit qu'il parlait d'une des premières qu'il avait écrites, du temps où il était jeune! ;-)
Tiens, j'ai confondu. Je la pensais de 2008. Cela dit, je pense avoir pas mal changé en tant que lecteur depuis cette date. Et CL n'y est pas pour rien.
Quand j'ai écrit cet avis, Stavro, je n'avais même pas prêté attention à ta "note" car, en la lisant, il était évident qu'elle était "haute"!Je ne l'ai vue qu'après mon post!
Et plus encore, j'ai lu avec beaucoup d'intérêt ta critique sur la forme, forme qui ne m'a guère dérangée en fait surtout si le fond me passionne!
Sans doute, comme souvent avec mes lectures d'auteurs que j'apprécie beaucoup et, en particulier, ceux publiéschez Verdier dont je suis inconditionnelle, je plonge dans mon livre avec un a priori positif: parfois, j'ai tort mais c'est rare.
J'avais déjà lu 2 autres livres de Silvain dont "Julien Letrouvé, colporteur" et "Assise devant la mer" conseillés par Palorel que j'avais grandement appréciés.
Âge, dis-tu?C'est vrai qu'avec certains auteurs, certains livres, l'âge peut être un facteur préjudiciable à une lecture qui aurait pu être plus "objective" et qui aurait pu donner un autre sens à nos relations avec eux: je pense, là, essentiellement à Labovary que je n'ai jamais eu le courage de relire..., à Proust et sa recherche, débuté, abandonné par ennui car trop jeune à l'époque, au "Lys dans la vallée", détesté vers 15 ans et énormément aimé à 30.
Nous devons être nombreux dans ce cas-là.
C'est bien que tu évoques P.Silvain dans un forum car c'est bien dommage que ses livres demeurent inconnus.
(Il paraîtrait que l'âge, c'est dans la tête...)
Et plus encore, j'ai lu avec beaucoup d'intérêt ta critique sur la forme, forme qui ne m'a guère dérangée en fait surtout si le fond me passionne!
Sans doute, comme souvent avec mes lectures d'auteurs que j'apprécie beaucoup et, en particulier, ceux publiéschez Verdier dont je suis inconditionnelle, je plonge dans mon livre avec un a priori positif: parfois, j'ai tort mais c'est rare.
J'avais déjà lu 2 autres livres de Silvain dont "Julien Letrouvé, colporteur" et "Assise devant la mer" conseillés par Palorel que j'avais grandement appréciés.
Âge, dis-tu?C'est vrai qu'avec certains auteurs, certains livres, l'âge peut être un facteur préjudiciable à une lecture qui aurait pu être plus "objective" et qui aurait pu donner un autre sens à nos relations avec eux: je pense, là, essentiellement à Labovary que je n'ai jamais eu le courage de relire..., à Proust et sa recherche, débuté, abandonné par ennui car trop jeune à l'époque, au "Lys dans la vallée", détesté vers 15 ans et énormément aimé à 30.
Nous devons être nombreux dans ce cas-là.
C'est bien que tu évoques P.Silvain dans un forum car c'est bien dommage que ses livres demeurent inconnus.
(Il paraîtrait que l'âge, c'est dans la tête...)
(Aparté: j'ai débuté "Estampillé Moscou" de Sigismund et suis pas enthousiasmée à vrai dire bien que j'y ai retrouvé souvent cette incroyable exubérance intellectuelle qui le rend si "scotchant"!Eh oui!)
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